Xenoblade Chronicles 2: Torna

Chroniques Xenoblade 2 était un chant du cygne fantastique pour le Commutateur NintendoL’année d’ouverture, clôturant des mois d’exclusivités exceptionnelles avec un JRPG qui pourrait facilement absorber des centaines et des centaines d’heures. Le dernier effort de Monolith Soft n’a pas été sans défauts, mais les a effectivement surpassés avec un monde étonnant, des combats engageants et une histoire qui a charmé et surpris dans une égale mesure.

Torna - The Golden Country s'appuie sur une telle qualité avec une nouvelle extension autonome qui améliore un certain nombre de problèmes qui ont fait de l'original une frustration occasionnelle. De tels ajouts sont accompagnés d'un casting de personnages et d'un récit émotionnel qui brille vraiment parfois, même s'il innove rarement.

Si vous étiez fan de la sortie de l’année dernière, c’est un voyage essentiel qui vaut la peine d’être fait.

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Se déroulant 400 ans avant les événements de Xenoblade Chronicles 2, vous incarnez Lora, une jeune femme qui a passé sa vie à survivre dans le monde difficile d'Alrest. Cependant, elle n'est pas la seule, ayant été accompagnée par une lame connue sous le nom de Jin, un visage que les fans du prédécesseur de l'extension reconnaîtront sûrement.

Les lames sont des êtres nés de cristaux de noyau, se liant avec des humains spécialement formés connus sous le nom de pilotes. Lora est l'un de ces guerriers, et vous en tomberez sur beaucoup tout au long de la longue campagne de The Golden Country.

Son histoire est immédiatement racontable alors qu'elle cherche sa mère présumée décédée, se profilant à l'ombre d'un conflit plus large connu sous le nom de «guerre de l'égide» qui va façonner le monde de Xenoblade Chronicles 2 auquel nous sommes arrivés connaître. Je suis surpris de dire qu’il y a un nouveau candidat pour #bestgirl.

Des continents entiers sombrent à cause des armes anciennes détruisant tout sur leur passage, laissant nos héros chercher refuge, même si cela signifie laisser des innocents mourir. Le ton est certes sombre, bien que les environnements lumineux et énergiques et les dessins de personnages vibrants aident à trouver un équilibre qui n'est pas trop sombre.

Il a l'air charmant, bien que souvent gêné par de petites baisses de performances et une résolution adaptable incertaine. Je suis déçu que le hoquet technique flagrant de la version vanilla n'ait pas été résolu ces derniers mois, mais c'est peut-être la conséquence d'un monde ouvert aussi vaste.

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The Golden Country est lancé à la fois dans le cadre de la passe d'extension du jeu et d'une version autonome, et il traite définitivement le joueur comme s'il se lance dans une nouvelle aventure. Pour une bonne raison, car des changements fondamentaux ont été apportés au système de combat.

Vous ne récupérez plus de lames dans un mini-jeu de gashapon aléatoire. Au lieu de cela, ce sont tous des personnages principaux introduits au petit matin. En conséquence, votre groupe est plus petit et plus concentré, ce qui nécessite de se concentrer sur les combos de lames stratégiques et les stratégies élémentaires pour découvrir les faiblesses de l'ennemi.

Vous ne contrôlez qu'un seul personnage à la fois. Connu sous le nom d'avant-garde, vous êtes capable de capacités offensives qui peuvent anéantir les ennemis les plus faibles en quelques secondes, tandis que le duo de gardes arrière surveille votre dos avec des buffs et des compétences de guérison. Avoir à maintenir cet équilibre est amusant, bien qu'il implique parfois de regarder les compteurs se remplir au fil de l'action.

La torsion est que vous pouvez changer un trio de membres du parti quand vous le souhaitez, ce qui devient une stratégie essentielle lors de rencontres ultérieures. Connaître la combinaison de capacités nécessite d'étaler un ennemi avant de déclencher une rafale de dégâts est souvent la clé de la victoire, car balancer sauvagement ne fonctionne pas toujours.

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Pour réussir au combat, vous devez adopter un certain rythme, en exécutant des compétences sur mesure comme un standard attaque des terrains pour infliger des dégâts supplémentaires et enchaîner un combo qui peut durer éternellement si vous êtes habile suffisant. Les désagréments mineurs tels que les problèmes de ciblage et le broyage fastidieux ont été atténués pour la plupart, ce qui est un plaisir à voir.

En dehors des combats, où vous passez une grande partie de votre temps, vous ferez le tri parmi les quêtes secondaires et améliorerez vos communautés, un nouvel ajout bienvenu à Xenoblade Chronicles 2. À la place de la gestion de Blade, les communautés font la chronique de presque tous les PNJ que vous rencontrez dans différents pays.

Certains ne sont que de la vitrine, tandis que d'autres ont des histoires significatives à raconter à l'intérieur d'activités qui peuvent durer plus de 20 minutes. Ils sont tous amusants à compléter avec une gamme variée d’objectifs qui frôlent parfois la monotonie. La nature archaïque des boîtes de dialogue sans fin peut devenir ennuyeuse, bien qu'elle nous sauve du doublage charmant mais parfois horrible.

Mis à part les qualités, les communautés sont une distraction significative qui se traduit par des récompenses intéressantes et donne aux quêtes secondaires par ailleurs génériques un sens au-delà des points d'expérience et de quelques objets. Cela fonctionne également en faveur des paramètres régionaux de Torna, dont beaucoup sont complètement nouveaux. Vous retournerez à quelques vieux repaires, y compris la ville de Gormott, même si cette fois-ci, il est presque impossible de les distinguer.

Vous pourriez choisir d'éviter toutes les quêtes secondaires et de parcourir le récit principal, mais il vous manquerait une grande partie de ce qui rend cette extension spéciale. Chaque lieu regorge de secrets intéressants, et ils sont juste assez grands pour que l'exploration sans carte ni waypoints puisse aboutir à un mode de découverte naturel. Trébucher sur des trésors jusque-là inconnus est une balle, surtout si cela me permet de mener à bien une longue quête.

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Si vous parvenez à ignorer une quantité absurde de contenu secondaire, l’histoire qui se déroule de Torna - The Golden Country est une histoire étonnamment fascinante. Être conscient du contexte dans lequel ce monde et quelques personnages finiront par me pousser en avant, impatient de voir comment le monde d'Alrest est façonné par un conflit aussi infâme.

Malheureusement, il est toujours freiné par un effort de localisation mitigé, certaines lignes vocales semblant avoir été livrées par un stagiaire n'ayant rien de mieux à faire. Il y a aussi beaucoup moins d'accents gallois cette fois-ci, ce qui est un peu décevant. Cependant, la livraison délicieusement fromagée augmentera sur certains, mais c'est une question de préférence.

Verdict

Xenoblade Chronicles 2: Torna - The Golden Country est une extension exceptionnelle, se justifiant comme un amélioration majeure du jeu original avec des améliorations de la conception des niveaux, des combats et de la majorité du côté teneur.

L'absence de déverrouillage d'une liste interminable de lames dérangera sans aucun doute certains fans, même si je pense comme une concentration plus profonde sur une petite fête et une narration plus intime, cela brille tout sur son propre.

C’est génial et essentiel pour les fans de JRPG avec une Nintendo Switch. Et, encore une fois, je suis laissé mousser à la bouche pour voir ce que Monolith Soft fait ensuite.